J’ai réalisé un vieux rêve, celui de rencontrer l’Ours blanc dans un de ses derniers sanctuaires naturels.
Je me suis donc rendu en novembre au Canada, au nord-est du Manitoba, à Churchill , sur la côte de la baie d’Hudson qui constitue un habitat unique pour les ours polaires. À cette période de l’année, ils attendent la formation de la banquise afin de pouvoir repartir chasser les phoques — leur principale ressource alimentaire.
J’ai découvert la puissance et la sérénité de ces géants blancs avec une taille de 2,40 à 2,60 mètres et un poids de 400 à 600kg pour les mâles, mais aussi leur fragilité face aux transformations rapides de l’Arctique.
L’Ours polaire dépend entièrement de la glace marine pour sa survie. Cependant, le réchauffement climatique retarde la formation de cette glace, réduisant son territoire de chasse et menaçant directement son avenir. Les changements observés ces dernières années rappellent l’urgence de préserver cet écosystème fragile.















































Après ces rencontres, ces scènes, aussi sublimes qu’inespérées et parfois avec une proximité incroyable, je souhaite vous raconter l’histoire encore une fois incroyable vécue à la fin du séjour : celle de la Maman Ourse avec ses 2 petits de l’année, poursuivie et harcelée par des grands mâles, qui est venue « se réfugier » à quelques dizaines de mètres de nous pour s’en protéger…












Un grand merci à mes amis Arnaud Marchais et Marie Lefranc de https://www.territoiresdunord.com/ ainsi qu’à notre guide canadienne Karine Genest https://www.facebook.com/karine.genest.777, pour l’organisation et la réussite de ce périple.